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Cela fait deux mois qu'ils sont morts
et en écrivant cette courte introduction, je pleure encore.


 

Je n'ai aucune honte, ni aucune retenue à montrer ces photos. Mon chagrin et ma douleur sont extrêmes, atroces, effroyables.

Si j'ai décidé d'afficher ainsi ma détresse, c'est pour que cela puisse servir d'exemple. Trop de personnes souffrent en silence et n'osent pas témoigner.

Joël

 
 
Joël, Papa de Benjamin
 
Joël, Papa de Benjamin


Joël, Papa de Benjamin - 18 juillet 2003



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